samedi 2 avril 2011

Extrait - Freud et les rêves

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Redirection en htm Sigmund Freud n’est pas spécialement ma tasse de thé. Les concepts du psychologue autrichien, car ce ne sont que des hypothèses et non des certitudes comme on cherche à nous le faire croire aujourd’hui (comme quoi en quelques décennies le langage du psychologue a été, de façon vulgaire, bien assimilé par le peuple), peinent à me séduire. Seul intérêt, l’impact d’un tel mouvement, non scientifique mais prétendant l’être, sur les populations du siècle présent et dernier.

L’extrait d’aujourd’hui est étonnant puisqu’il vise à dénigrer l’interprétation des rêves. Cette espèce d’entreprise grotesque où chacun cherche à trouver du sens derrière des symboles oniriques. Sorte de religion du XXIème siècle, la psychologie de manière générale, l’interprétation en étant une simple parcelle. Freud, l’auteur de Sur les rêves annonce, en début d’ouvrage, l’inintérêt de l’opération. De quoi calmer, par la parole du maître, toutes les protubérances actuelles d’essayistes de seconde zone cherchant à nous refourguer leur camelote dans nos supermarchés (public peu regardant sur la qualité niveau culture).



« Ce qui est rêvé ne peut pas plus prétendre à un sens et une signification que, par exemple, la suite de sons que produiraient les dix doigts d’un individu totalement ignorant de la musique lorsqu’ils se promènent sur les touches d’un instrument. Le rêve doit être décrit comme rien d’autre qu’ « un processus corporel dans tous les cas inutile, dans bien des cas morbide » (Binz). ».

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